Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/190

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

cet appel, ils commencèrent à bondir avec fureur.

— Lâchez la meute ! dit le Boucanier Desrosiers.

Les engagés s’empressèrent d’obéir, et serrant la courroie qui leur ceignait la taille, ils s’élancèrent à la suite des chiens furieux.

À peine de Morvan avait-il fait cent pas, qu’il aperçut le taureau traqué se dirigeant vers lui.