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— Ne me maudissez pas, ma mère, dit-il avec une douceur et une tristesse infinies. N’appelez pas la colère de Dieu sur la tête d’un fils qui vous chérit et qui vous respecte par-dessus tout au monde… Ne détournez pas ainsi vos regards de moi… Chassez le sombre courroux qui les allume… Écoutez-moi avant de me condamner, ma mère !
— Si vous voulez que je vous écoute, mylord, rétractez, retirez, désavouez à l’instant le blasphème que vous venez de proférer contre votre roi !
— Je n’ai point blasphémé, mylady…