Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Huyghens aux horloges[1], se faisaient seuls entendre dans la vaste pièce.
Tout à coup le vieillard, qui semblait n’être occupé qu’à suivre sur le cadran la progression lente des aiguilles, se leva, et se mit à marcher la tête inclinée sur sa main.
— Un pareil retard n’annonce rien de bon, murmura-t-il. C’est dans l’après-midi que mylady Lisle et son fils ont dû voir le Jacques Stuart… Comment se fait-il que
- ↑ Pierre Dubois, Histoire de l’Horlogerie.