Page:Duplessis - Le Tigre de Tanger, IV, 1857.djvu/283

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sayait en même temps de frapper l’ennemi du jeune lieutenant aux gardes, et de lui arracher un cri de rage et de douleur.

Si telle était, en effet, l’intention de l’audacieuse Irlandaise, elle atteignit pleinement et du premier coup son but : Jefferies poussa un sourd rugissement :

— Ah ! les temps sont changés !… hurla-t-il. C’est ce que nous allons voir à l’instant… à l’instant même, entends-tu, effrontée coquine !… Coureuse éhontée !