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çant de mettre l’expression de son visage en harmonie avec ses paroles.

— Pourquoi essayer de me donner des espérances que vous n’avez pas, capitaine ? interrompit le puritain. Parlons bien vite de choses plus importantes… Oh ! quelles excuses n’ai-je pas à vous faire ! quels pardons n’ai-je pas à vous demander !… Vous êtes un brave et loyal soldat, vous ! un généreux cœur, un honnête homme ! et moi qui vous soupçonnais, parce que vous vous étiez déclaré l’ami d’enfance de Jefferies !… parce que vous retourniez à Londres pour vous placer sous sa protection !… Mais vous comprendrez bien facilement et vous me pardonnerez mes soup-