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de Suzanne envers toi ! Je suis persuadé que si elle était libre…
— Que dites-vous, mylord ! s’écria Fitzgerald ; Suzanne n’est donc pas libre ?… Oh ! non, vous voulez, en vous jouant de ma crédulité, jeter dans mon cœur l’épouvante !… Cette plaisanterie est cruelle, mylord !
— Cette plaisanterie ?… décidément le choc moral que tu as reçu ce matin en montant à la potence a ébranlé ta raison ! Car, je le vois bien, tu ne m’as pas compris… Ah çà ! voyons, que trouves-tu donc de si étonnant à ce que j’aie songé à m’as-