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LES MARCHANDS DE VOLUPTÉS


autrui. Mais que ce soit sans but et sans résultat pour personne, parut à Amande une vraie disgrâce.

Elle pensa :

« Mon petit, ce n’est pas par vice que j’en viens là, mais comme je ne veux pas mourir sans avoir connu la volupté, qui est peut-être surfaite, mais existe cependant, je vois qu’il me faudra la chercher ailleurs qu’avec toi. »

Et elle fit gentiment les cornes à son mari qui ne comprit pas.