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masse des citoyens français qui ne chante plus, mais qu’on tond toujours comme au temps de Mazarin. D’ailleurs, il s’en foutait ; il ne demandait qu’à sauver sa mise.

Il croyait que c’en était fini, après sept mois, de la mise en scène de la comédie judiciaire : il se trompait.

Sur un ordre du bloc ministériel, la revue des dossiers Blanqhu recommença.

Le notaire s’empressa de conclure avec ses prêteurs et ceux d’Agénor.

Ce fut une bonne affaire pour lui.

Néanmoins, l’instruction se continua pendant encore huit mois.

Tout le monde en avait plein le dos de l’affaire Blanqhu, le public, les Métalliques, le gouvernement et surtout l’intéressée, la géniale Aglaé dont les dossiers se gondolaient et étaient autrement suggestifs que ceux du Parquet.

Ce fut alors que se produisit le coup de théâtre qui fut cause de la première attaque d’apoplexie de Sabot XXXXe.

Un groupe politique d’affaires, à la tête duquel se trouvait le Renard de la Justice, s’étant entendu pour faire chanter la Blanqhu, avait combiné de faire recommencer l’instruction sur la nouvelle base d’accusation de faux en matière de testament.

Prévenue, Aglaé, après un conciliabule avec ses

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