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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

conservé ; mais, dégagé de ce qui l’enveloppait, il n’offrait plus que l’image de la plus hideuse putréfaction, et il s’en échappa une odeur tellement infecte, que chacun s’enfuit, et qu’on fut obligé de brûler plusieurs livres de poudre pour purifier l’air.

On jeta aussitôt dans la fosse ce qui restait du héros du Parc-aux-Cerfs, de l’amant de madame de Châteauroux, de madame de Pompadour et de madame du Barry, et, tombé sur un lit de chaux vive, on recouvrit de chaux vive ces immondes reliques.

J’étais resté le dernier pour faire brûler les artifices et jeter la chaux, quand