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Feliciani, je ne vous retiens plus… Seulement, reprenez vos bijoux.
— Ils sont aux pauvres, Madame dit le comte de Fœnix ; et, distribuée par vos mains, l’aumône sera deux fois agréable à Dieu. Je ne redemande que mon cheval Djérid.
— Vous pouvez le réclamer en passant, monsieur. Allez !
Le comte s’inclina devant la princesse et présenta son bras à Lorenza, qui vint s’y appuyer et qui sortit avec lui sans prononcer une parole.
— Ah ! monsieur le cardinal, dit la princesse en secouant tristement la tête, il y a des choses incompréhensibles et fatales dans l’air que nous respirons.
FIN DU DEUXIÈME VOLUME