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HISTOIRE DE MES BÊTES.

Le geai pousse un troisième coing !

— C’est là ! c’est là ! crient en chœur tous les oiseaux.

Et ils se précipitent en vol, par bande, par masse, sur l’arbre du pied duquel sont partis les trois coing !

Or. comme l’arbre est garni de gluaux, tout oiseau qui s’abat sur l’arbre est un oiseau pris.

Voilà pourquoi je disais à mes invités en leur présentant Vatrin : « Mesdames et messieurs, bonne nouvelle ! on a le geai. »

Vous vovez, chers lecteurs, qu’avec moi tout s’explique ; — seulement, il faut me donner le temps, surtout quand j’emploie le procédé Walter Scott.

Ce fut donc chez ce brave Vatrin — auquel j’ai amicalement emprunté son nom pour en doter le héros principal de mon roman de Catherine Blum — que je conduisis Pritchard.