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HISTOIRE DE MES BÊTES.

seulement dans l’espoir de tuer force lièvres et force perdrix sur les terres de Gaignez et de M. Raoul, mais encore dans celui de manger des œufs comme jamais je n’en avais mangé.

Le jour de mon arrivée, je dois le dire, le succès avait dépassé l’espérance de Charpillon lui-même : on m’avait servi, à mon déjeuner, des œufs couleur nankin, dont j’avais, avec la délicatesse d’un véritable gourmet, apprécié les qualités supérieures.

Mais les jours se suivent et ne se ressemblent pas !