Page:Dumas, Marie - Histoire de mes bêtes, 1878.djvu/277

Cette page n’a pas encore été corrigée
269
HISTOIRE DE MES BÊTES.

— Je ne me plains pas, répondait Pritchard.

Puis, voyant que le chien étranger devenait pensif :

— Te plairait-il, lui disait Pritchard, de dîner avec moi ?

Les chiens n’ont pas dans ce cas, la sotte habitude qu’ont les hommes, de se faire prier.

Le convié acceptait avec reconnaissance, et, à l’heure du dîner, j’étais fort étonné de voir entrer, à la suite de Pritchard, un animal que je ne connaissais pas, qui s’asseyait à ma droite, si Pritchard s’asseyait à ma gauche, et qui allongeait sur mon ge-