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HISTOIRE DE MES BÊTES.

Comme c’était la seule chose qui attirât Pritchard du côté de cette nouvelle connaissance, à peine la perdrix ne fut-elle plus dans la poche que Pritchard lâcha la veste.

Il est inutile de suivre plus loin les prouesses de Pritchard. Après une journée où il s’était livré aux excentricités les plus folles et les plus inattendues, je rentrai à la ferme à la tête d’une cinquantaine de pièces.

Alfred, avec le classique Médor, n’avait pas mieux fait.

Seulement, ce qui résultait de mes études sur Pritchard, c’est que le chasseur qui avait le bonheur de le posséder devait chasser absolument seul.

C’était un chien de trappiste.