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Connaissons combien notre âme est fortunée,
Éveille-toi, mon âme est éveillée,
La splendeur rayonne à la croisée,
Contemplons le soleil et toi, mon cœur, et moi, ton épousée.

Et que la lumière du midi vienne !
Ou bien demeurons, que je rêve et ferme les yeux et t’appartienne !