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Et que le monde
Coule,
El que les années
Comme des falaises amoncelées
Lentement s’écroulent
Et roulent
Sur la grève où l’âme
Au bord de l’infini s’agite et clame.
Ames,
Que le cycle d’es choses se déroule ;
Rien que de nécessaire
N’advient,
Rien
Qui ne vienne
Et ne revienne
Sans fin.
Rien
Qui ne soit dans le retour infini de notre destin.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


L’auteur s’est arrêté, non pas à la trente-troisième, mais, hélas ! à la première variation.