Page:Dujardin - Poésies, 1913.djvu/149

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et là, si tu le veux,
Dans le lieu étroit où s’enferment nos yeux,
En cette minute brève,
Nous aurons l’heure que rien n’achève
Et l’étendue des plus illimités cieux…
Le connais-tu, dis, le pays du rêve ?