Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
O toi dont les regards
Sont pleins de cieux épars
Et de nuits d’harmonie
Et de fête et de silencieuse folie,
Connais-tu les bienheureux départs
Vers ce pays de l’Italie ?
O toi dont les regards
Sont pleins de cieux épars
Et de nuits d’harmonie
Et de fête et de silencieuse folie,
Connais-tu les bienheureux départs
Vers ce pays de l’Italie ?