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Celles d’autrefois
Ont eu de tendres voix
Et d’aimables minois
Et des robes aux fous froufrous
Et de gracieux bijoux :
Leurs chevelures
Autour de leurs figures
Mettaient des clairs-obscurs…
Sache ! c’est toi dont les cheveux
Encadrent le mieux
Les yeux ;
C’est toi dont les toilettes
Sont les plus coquettes
Et les plus discrètes ;
C’est toi dont les éveils
Sont vermeils,
Dont les sommeils
Sont caressants
Et, comme de l’encens,
Enivrants aux sens ;