1887, Pan et la Syrinx de Laforgue ; parties en vers libres.
9o En librairie, éditions Tresse et Stock, 1887 : — Les Palais Nomades.
Nouvelle édition dans les Premiers Poèmes, Mercure de France, 1897.
10o Revue Indépendante, n* 9, juillet 1887 : — Sur les talus, de Jean Ajalbert. Publié ensuite chez Vanier.
Partie en vers réguliers ou libérés, partie envers libres, sauf la restriction ci-dessus.
11o La Wallonie, II, no 7, août 1887 : — L’Horizon vide, sixième partie d’une série Quelques Proses.
Nous y lisons les vers suivants qui peuvent être considérés comme un essai de vers libres :
Frêle enfant que chérit mon âme,
Pourquoi t’enfuir aux si vagues oublis,
Aux oublis douloureux de lointains amollis,
Tièdes sourires ?
Mentionnons encore les poèmes du Cygne, dans le même numéro, dont il suffit, à certains passages, de modifier la typographie pour reconnaître de parfaits vers libres ; exemple :
Là-bas fuit la tempête sous la cravache de son regard…