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par Antoine Métral, avocat, Paris, Baudouin frères, imprimeurs-libraires, 1820, in-8o de [iv-]16 p.

V.-D Musset-Pathay, Histoire de la vie et des ouvrages de J.-J. Rousseau, Paris, 1821, t. I, p. 15-17.

Testament de J.-J. Rousseau. Communication de M. de Saint-Genis (précédée d’un rapport de M. Lascoux au Comité des travaux historiques, section d’histoire et de philologie, lu dans la séance du 6 décembre 1875). Revue des sociétés savantes des départements, 6me série, t. II, année 1875, Paris, 1876, p. 377-380. — Cf Victor de Saint-Genis, Histoire de Savoie, t. III, 1869, p. 106, note.

F. Descostes. Rapport sur la véritable découverte du testament de J.-J. Rousseau, en date du 27 juin 1737, Rivoire, notaire ; (présenté à l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie). Courrier des Alpes [journal de Chambéry] des 6, 8, 13, 15 et 17 septembre 1876.

Albert Metzger. Une poignée de documents inédits concernant Mme de Warens, 1726-1754, Lyon, 1888, p.32-44.

François Mugnier. Madame de Warens et J.-J. Rousseau, étude historique et critique, Paris, 1891, p. 149-152[1].


Vingt ans plus tard, le 8 mars 1758, Rousseau, alors très malade, mande chez lui le notaire Regnard et deux témoins, « Me Pierre du Quesne, procureur au bailliage d’Anguien, et Barthélémy Têtard, maçon. » Un acte est dressé, par lequel le citoyen de Genève reconnaît que ses meubles, duement énumérés, « appartiennent à Thérèse Le Vasseur, fille majeure, qui les lui a prêtés pour son usage » et qu’il est « redevable envers la dite Le Vasseur, sa domestique, de la somme de dix-neuf cens cinquante livres, pour treize années de ses gages depuis qu’elle demeure avec lui en cette qualité jusqu’au premier mars dernier. » Cet acte, publié par M. Paul Boiteau[2] et dont la minute originale appartenait en 1886 à M. Léon Turquel, à Paris, est

  1. L’article de M. M. Guillaud, À propos d’un testament de J.-J. Rousseau dans la Revue hebdomadaire du 28 décembre 1901, p. 385-400, ne reproduit (p.398-399) qu’un fragment de la pièce.
  2. Mémoires de Madame d’Épinay, édition nouvelle, avec des additions, des notes et des éclaircissements inédits, Paris, 1865, t. II, p.434-436.