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D’un autre magistrat





J’ai lu avec grande attention votre travail sur l’impôt progressif ; vos raisonnements sont ceux d’un sage et tous les esprits sages les goûteront et les méditeront. Longtemps avant qu’il soit possible aux législateurs de formuler en loi une idée juste et salutaire, il est bon que les penseurs l’examinent et que les publicistes la recommandent et la vulgarisent ; c’est la tâche que vous avez remplie et la publication de votre travail sera certainement utile.