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On aura beau fonder des habitations à bon marché, des jardins ouvriers, créer des mutualités, des associations de consommation et autres palliatifs de ce genre, jamais le travailleur n’arrivera à se procurer quelques ressources pour ses vieux jours tant que les grands capitaux, presque affranchis d’impôts, pourront l’exploiter ainsi impunément.

L’usure sous toutes ses formes, dévore le travail.