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D’un propriétaire




(Octobre 1904).

« Toute appréciation, pour être bonne, doit contenir une critique ; je me hâte, moyennant votre permission, d’apporter à la mienne cet élément indispensable, la critique. Oh ! elle sera bien légère, ma critique ; elle ne vise ni la forme ni le fonds… pas même pour le moment, le principe. Elle n’emprunte sa valeur qu’aux circonstances mêmes où se trouve notre malheureux pays. Et, en effet, mon cher Monsieur, vous semblez avoir oublié dans quelles mains la France s’est laissée choir. Vous paraissez ignorer les intentions, les desseins de nos maîtres du jour ; et que, par exemple, juifs et huguenots sectaires ont résolu, décrété la fin de la France. Qu’enfin, pour assurer la réussite de leurs projets criminels, ils ont intelligemment conçu et savamment combiné de nombreux moyens, parmi lesquels il convient, sans nul doute, de ranger l’impôt progressif… Je vous pose alors cette question, en guise de critique : À supposer que l’impôt progressif fût,