IV, section II, article 134), l’Allemagne « renonce, en faveur des gouvernements français et chinois conjointement, à la propriété de l’école allemande située sur la concession française de Changhaï ». Cette école est devenue l’Institut franco-chinois d’Industrie et de Commerce, qui comprend trois sections mécanique et électricité, travaux publics et chemins de fer, commerce.
Il va sans dire que depuis leur traité de paix avec les Chinois du 20 mai 1921, les Allemands ont fait leur possible pour reprendre dans l’enseignement, en Chine, la place qu’ils avaient, et ils ont su trouver assez de concours parmi les Chinois pour obtenir certaines autorisations. Malgré cela, nombreux sont les Chinois qui ont exprimé devant nous le désir de voir en Chine de plus en plus de professeurs français. L’esprit clair de notre race semble se manifester à leurs yeux d’une façon particulièrement évidente dans l’œuvre de ces derniers. En 1918, une section de langue française fut d’ailleurs créée à l’Université nationale de Pékin où l’on enseigna en cette langue, notre littérature et