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distinguent pas toujours nettement, s’il abandonne momentanément le cours pour se livrer au dehors à quelque manifestation, on peut dire que lorsqu’il y assiste, il y a bonne tenue.[1]

Ce n’est pas un certificat que nous voulons délivrer ici à ces jeunes étudiants chinois que nous avons connus ; mais en vue précisément de la vocation éducatrice éprouvée de la France et afin qu’elle se perpétue, nous avons tenu à apporter un témoignage personnel qui aidera peut-être des guides qualifiés à trouver le plus sûr chemin de leur intelligence et aussi de leur cœur.

  1. Sur les bizarreries du cerveau chinois, il faut lire les observations de nombreux médecins étrangers et celles que le P. Huc qui parcourut la Chine et le Tibet de 1844 à 1846, consigna dans son remarquable ouvrage L’Empire chinois.