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metière israélite, 124. — Le charnier des Innocents, 124. — Aspect de ce cimetière au moyen àge, 124. — Comment on y faisait les inhumations, 125. — L’encombrement des cadavres y engendre le typhus, 126. — Inutile intervention des médecins et des savants pour faire supprimer ce foyer pestilentiel, 126. — Amour du Parisien pour le cimetière des Innocents, 126. — C’était un centre de commerce et de mouvement, 127. — Sotte croyance du peuple au sujet de propriétés absorbantes du sol des Innocents, 127. — Un arrêté du parlement ordonne en vain la fermeture des cimetières compris dans l’enceinte de la ville, 128. — Le charnier trop plein rejette ses cadavres, 128. — Fermeture et destruction du cimetière, 129. — Les ossements recueillis sont versés dans les catacombes, 130. — Le cimetière des Innocents devient le marché aux légumes, 131. — Projet d’une nécropole unique, 131. — La Révolution transfère à l’autorité municipale la propriété et la police des cimetières, 132. — La Commune révolutionnaire crée deux cimetières supplémentaires, 133. — Cimetières de Picpus et de la Madeleine, 133. — Cimetière de Mousseaux ou des Errancis, lieu de sépulture de Charlotte Corday et de plusieurs membres de la Convention, 134. — Recherche infructueuse des corps de Louis XVI et de Louis XVII, 134. — Cimetière de Vaugirard, 135. — Cimetière Clamart, 135. — Cimetière Sainte-Catherine, lieu transitoire de sépulture de Mirabeau, de Bichat, de Pichegru, 136. — Création de trois grands cimetières par Frochot, préfet de la Seine, 137. — Un décret impérial met à la disposition de la ville quatre cimetières, réduits plus tard à trois, Montparnasse, Montmartre et le Père-Lachaise, 137. — L’annexion de la banlieue fait entrer quinze cimetières dans Paris, 137. — Nos vingt-deux cimetières, 138. — Concessions perpétuelles et temporaires, 138. — Inhumations gratuites : fosse commune et tranchée gratuite, 139. — Les trois principaux cimetières, 141. — Vigilance des gardiens, 153. — Les aumôniers des dernières prières, 156. — Les enterrements civils, 156. — Le visa des épitaphes, 157. — Banalité de la plupart des épitaphes, 158. — Saturation du sol des anciens cimetières de Paris, 160. — Les cimetières d’Ivrv et de Saint-Ouen, 160. — Nombre d’hectares nécessaire, 163. — Saponification des corps dans les terrains saturés, 163. — Exhalaisons redoutables, 164. — Empoisonnement de la nappe d’eau souterraine, 164. — La crémation devant l’Église et la magistrature, 165. — Nécessité d’éloigner les cimetières, 166. — M. Haussmann, préfet de la Seine, conçoit le projet d’un cimetière unique, situé sur le plateau de Méry-sur-Oise, 166. — Le culte des morts est un des caractères distinctifs du peuple de Paris, 170. — Voyez Père-Lachaise, Montmartre, Montparnasse, Méry-sur-Oise.

Cité (Île de la), I, 292, 294.
Claude (M.), chef du service de la sûreté à la préfecture de police, III, 101.
Clocheteurs des trépassés. — Leur cri et leur costume, VI, 108. — Leurs contestations avec le clergé, 109.

Cochers de fiacre. — La sorbonne des cochers, I, 180. — Provenances principales, 184. — Les bons sujets, 184. — Les ivrognes, 185. — Les bohèmes, 185. — Prêtres et bacheliers devenus cochers de fiacre, 186. — Détournements de recettes commis par les cochers,