des poutres de l’écurie et se pend de désespoir d’avoir manqué une si bonne aubaine.
La Compagnie générale et la préfecture de police font ce qu’elles peuvent pour assurer le service des voitures de louage, auquel la population parisienne est accoutumée maintenant, qui n’est pas parfait, mais qui s’améliore chaque jour en raison directe de l’expérience et de la bonne volonté de ceux qui le dirigent. Mes contemporains, j’entends ceux dont les souvenirs d’enfance remontent à plus de trente ans, peuvent être frappés comme moi des progrès remarquables que l’organisation des voitures de place a faits à Paris. Ces progrès, il serait ingrat de ne pas les reconnaître et injuste de ne pas les signaler.
iii. — les omnibus.
Dans une fourmilière comme Paris, toujours agitée, où les minutes valent des heures, où les distances sont parfois excessives, le seul service des voitures de louage marchant à la course et à l’heure ne pouvait suffire. Il est naturel qu’on ait pensé à mettre à la disposition du public des voitures qui, faisant le transport en commun