Page:Du Bois de la Villerabel - La Légende merveilleuse de monseigneur saint Yves.djvu/39

Cette page n’a pas encore été corrigée

alentourz & chemyns de Kermartin, car défia Mon- fieur Yues auoit don célefte d’attoucher les cueurs, corne pierre d’aymant attire fer, côme pefcheur re- tiend ; poiiîon en fes iîletz, tout amorcé qu’il eftoit de miféricorde, compaffion & charité. — « Poure Père, « & vous, tendre Mère, & vous touz Amis & bonnes « Gens du Minihy ! Ah ! me femble ouïr vos ciiz pi-

niaitm Et piano, quedam domus sita ju\ia dwlam capdlam Ittm, quidam pat - « eus totalitei mmaius de lapidibus in quo est quoddam coluiubai min Ittm, qui- « dam piilchti m lus, mmaius lapidibus m parle et in aha de teita, pi ope dietam « capellam Item, quoddam paicum situation juxta dietam domnm closatum de « te) i a Dl. quibus, dictas capellanus habet nngulis aiims VII saillatas fi umenti » (Ai Ji des Cotes du-Nord Seiie G Ponds de l’ev de Treguiei )

« S tint \\ es, ajoute M Tempiti, n’était certainement pas Vainc puisque a abandonnant tout sou bien a 1 Eglise, il ne lusse qu’une m tison et tiois « pièces de tene qui foimuit les deux parts d hentage qui lui sont échues le « manoir seigncunal, H tene de Keimaitin sont entre les mains d’un autre

< membie de la fimille qui conscise le nom de Reimiitiu et le tiansmet a ses ( descendants On ne stui ut \on dans ces lopins de tene, dtns cette maison « dans ce colombiu, la seigneune de Keimaum, lune des quatie pie\ôtes de « l’e\echede liegmei, le fief de chetahne possède pai l’aïeul de samt Y\es « Tanciet de Keimutm Heun a pic\u 1 objection, et, poui s en debauasser, « a tiome tout simple de mei l’existence, tu temps de s tint Y\es, d un fief

< de Keimartm (il n’a\ait évidemment pas sous les }eu\ Y Enquête de canom- « saiioii) Il \ t plus loin, il nie que la famille d._ saint Y\es ut poite le nom « de Keimutm II suffit de lue H déposition du piemiei témoin entendu