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Vtîle pouf iniliu§re les ingnorîs des Laigués etrarêgeres en la eôgnoîlünee des chutes, u’e(i (alii ante pour donner à la mûre celle perfe- &i0n,& comme Fun: les Peintres à leurs Tan bleaux ceûe derniere main , que nous deiîrôs. E: li les rai(ons,que ïay alleguées, ne lïemblëe allez forees,ie Jpduiray pour mes gar5',s\& def feniëurs les anciens Auâeurs R0mains,Poë· tes prineipzlementuîe Ol’2È€\l1'S,l¢$ quelz (cô- bien que Ciceron ait traduyt quelques `Liures de Xen0ph0n,& cl'Arzte,& qu`Hotaee baille les preeepres de bien triduyre) ont vacque 3. eelie partie plus pour leur etude,& profit pan tieulier, que pour le publier à Yamplifîeation de leur Langue , âleut gloire , dc commodité s d’autruy.Si aucuns ont veu quelques Oeuures de ce eens la foubz tiltre de traduâiun, ïentës de Cieeron, de Vit ile , 8c de ce bienheureux Siecle d’Auguûe, me poutmint dementig deoe que ie dy. ` ` " `””"`~" u` '``' ww