préchait la révolution, et de Millerand qui se tord lorsque Galliffet imite les grimaces de ceux qu’il faisait égorger à la Muette.
L’œuvre d’ailleurs, qu’elle soit un drame ou un roman, est en germe dans Daniel Deronda, et surtout dans les livres si étrangement prophétiques où Disraeli s’est amusé tant de fois à traiter ces questions. Dans Coningsby, dans Endymion, dans Lothair, il nous a montré, pendant la première moitié de ce siècle, des personnages que l’on ne croyait pas Juifs, s’installant dans les grands emplois et préparant le triomphe de leur race. Il nous a annoncé que les Juifs jetteraient bientôt le masque et que, las de régner sous l’anonymat ou derrière des hommes de paille, ils réclameraient officiellement le droit de gouverner le monde, le droit d’être nos maîtres.
C’est dans Coningsby ou la Nouvelle