les Vaugeois et les Jules Lemaître.
L’affaire Dreyfus a permis à tous les huguenots, à tous les Juifs allemands ou hongrois qui s’étaient entassés dans l’Université de jeter le masque qu’ils avaient cru devoir garder quelque temps, de se soulager publiquement, de cracher le venin qui était en eux, de nous livrer le fond de leur âme.
Dans un élan instinctif, tous ces Cosmopolites se sont attelés à la fois à l’œuvre d’infamie et de trahison, et l’on a vu se manifester au dehors tout ce qu’il y avait en eux de haine contre la France, sa gloire, ses traditions, tout ce qu’il y avait de tendresse longtemps dissimulée pour la grande et la chère Allemagne.
Pour que l’œuvre de destruction fût complète, il fallait encore démolir l’armée. Les Juifs y ont à moitié réussi ; ils ont porté un coup terrible à cette organisation militaire née avec la troi-