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casion, le prennent pour confident, lui livrent le secret de nos arsenaux, sont dignes de tous les mépris. Mais de quel droit empêcheriez vous ce Juif oscillant entre deux patries de favoriser de ses renseignements celle des deux qui paye le mieux ?


Ceci on le comprend rend fort difficile l’étude du Juif au point de vue de la criminalité. Comme dit cet excellent Crémieux, c’est l’intention qui est tout. Le mal que font les Juifs, mal épouvantable, insondable, inconnu, rentre dans la catégorie des crimes commis au nom de la raison d’Etat. Assassiner, ruiner, dépouiller le chrétien constitue pour eux un crime agréable à Dieu. Comme l’explique Eisenmenger dans le Judaïsme dévoilé, c’est ce qu’ils appellent faire un Korban.

Tel juif qui aura, à l’aide de ses coreligionnaires, réduit au désespoir ou au suicide un négociant chrétien dont il veut prendre la place, sera vis-à-vis des siens le plus charitable, le plus serviable, le plus désintéressé des amis.

L’absence de tout document statistique sérieux, l’habileté avec laquelle les Juifs, qui sont tous de connivence entre eux, cachent leurs actes, entourent, je le répète, toute recherche de ce genre de difficultés presque insurmontables.

En 1847, M. Cerfbeer de Medelshein[1] avait donné quelques chiffres intéressants quoique fort en l’air.

  1. Ce Cerfbeer parait vraiment avoir été un homme droit et sensé. Il adressait, en 1847, à la dynastie d’Orléans dominée absolument par les Rothschild, ces lignes qui semblent d’hier, à cette exception près que ceux qui, il : y a cinq ans, ont expulsé des Français de leur domicile, n’étaient ni aveugles, ni fous, mais payée par la Franc maçonnerie juive.
    Il y a deux ans, on a disséminé et chassé quelques religieux, et