quante milliards[1], sur lesquels les Juifs possèdent bien quatre-vingts milliards. J’estime cependant qu’avec les ménagements obligés, avec la facilité de dénaturer les valeurs[2], une opération comme celle-là ne produirait pas immédiatement plus de dix à quinze milliards et j’accepte le chiffre de dix comme minimum.
- ↑ Un député, le docteur Vacher, évaluait cette fortune à deux cent soixante milliards, M. de Foville, chef du bureau de la statistique au ministère des finances, s’arrête à deux cent cinquante milliards ; mais ce sont là des chiffres tout théoriques.
- ↑ Ce serait une erreur complète cependant de croire que la fortune d’Israël est exclusivement en papier. Le Juif, roi absolu en France, n’exerce pas seulement le droit tout régalien d’émettre des actions qui sont de véritables billets de banque, à cette exception près qu’ils ne sont garantis par rien ; il bat encore monnaie, il peut envoyer des lingots à la Monnaie pour les faire frapper et profiter du bénéfice. Ce n’est pas un privilège, dit-on, et tout le monde peut
de représentants au plus dans la salle. Ou
n’a pas même le temps de tout voter et on est obligé, pour ne pas employer le mot
de douzièmes provisoires, d’allouer un milliard au gouvernement pour en faire ce
qu’il voudra. Le droit de contrôler l’impôt, qui existait aux origines de la
monarchie, a cessé même d’être exercé.
Tous ces mots : dette flottante, dette consolidée sont de la fiction pure, des
prestiges analogues à ceux des magiciens d’autrefois. Le gouvernement, étant en
plein dans le système juif, qui consiste à prendre l’argent monnayé conquis par le
travailleur pour lui substituer du papier, s’est emparé des 2,300,000,000 de francs
déposés à la Caisse d’épargne et les a remplacés par des titres de rente qui, en cas
de panique, n’auraient pas plus de valeur que les assignats révolutionnaires.
M. Leroy-Beaulieu a montré, dans l’Economiste français, que les sommes
exigibles de l’Etat, soit immédiatement, soit à très courte échéance, s’élevaient à
plus de trois milliards de francs, et que l’encaisse dont celui-ci pouvait disposer
pour répondre à ces énormes exigences dépassait à peine cent cinquante millions de francs.
En d’autres termes, le gouvernement se trouve dans la situation d’un
négociant qui aurait un actif de 150,000 francs et un passif de 3,000,000 de francs :
TIl est clair qu’à la moindre alerte un peu sérieuse, c’est la faillite forcée.