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« Il est défendu aux agents de change de prêter leur ministère pour des jeux de bourse sur quelques effets que ce soit ». (Loi de l’an IV et de l’an X.)

« L’agent de change doit se faire remettre à l’avance les effets qu’il est chargé de vendre ou les sommes nécessaires pour payer ceux qu’il est obligé d’acheter. » (Arrêté du 87 prairial an X, article 43.)

Supposer, dans ces conditions, que les agents de change puissent perdre quelque chose, serait admettre qu’ils violent effrontément une loi existante. C’est une pensée malveillante qu’il est défendu d’avoir vis-à-vis de si honnêtes gens.


Ces existences de modernes qui n’ont rien de commun avec nos existences de jadis, ces destinées bizarres menées bride abattue au milieu des outrances et du bruit avec une sorte d’audace moitié folle et moitié cynique se terminent presque toujours dans le drame.

Le Juif attire le drame, il le porte avec lui dans les pays qu’il envahit et dans les maisons où il se glisse.

Les mariages mixtes, que l’on appelle dans le monde « la culture des ferments, » n’ont point donné jusqu’ici de bons résultats.

Par une loi singulière, il est peu de familles qui se soient alliées aux Juifs dans une pensée exclusive et plus ou moins crûment avouée de sapidité, sur lesquelles ne soit tombée une catastrophe. Un La Moskowa se marie à une Heine et vous n’ignorez pas dans quelles conditions lugubres le malheureux a péri. Un duc de Richelieu épouse également une Heine et va mourir prématurément en Orient. La fille du duc de Persigny épouse un brasseur juif de Prague, Friedmann et s’assoit avec lui sur les bancs de la police correctionnelle. Le pétrole entre dans la maison de Poli-