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résultat de cette instruction qui s’est terminée par une ordonnance de non-lieu.

De cette impunité presque complète des Juifs les preuves s’accumulent chaque jour sous nos yeux.

Est-il nécessaire de rappeler aux Parisiens l’histoire de cette pauvre petite courtisane espagnole, débordante de gaîté et de vitalité, ayant pour l’idée même du suicide une horreur insurmontable et qui passe encore pour s’être jetée par la fenêtre tandis qu’elle a été précipitée du haut du balcon par un Juif qui avait du sang de barbare dans les veines et qui rêvait un mariage princier ? — A la simple inspection des lieux un enfant aurait reconnu l’invraisemblance de cette histoire.

En 1882, une femme, une Smyrniote, est arrêtée dans un grand magasin en flagrant délit de vol. Cette femme se trouve être la belle-sœur d’un acteur d’origine grecque qui lui-même a épousé une comédienne juive qui fatigue Paris du bruit de ses réclames. Parente de juive, il suffit, on déclare que la voleuse est atteinte de cleptomanie, peut-être parce qu’elle venait du pays des Kleptes.

Je suis enchanté, d’ailleurs, pour elle de cette déclaration et je ne suis pas loin d’admettre avec le Dr Lassègue que toutes les voleuses de magasin sont des malades. Imaginez pourtant une femme appartenant à une famille chrétienne et dérobant un objet de dix sous dans un magasin juif et vous verrez si elle sera cleftomane.

Sarah Bernhardt indignée par le livre de Marie Colombier envahit avec trois compagnons l’appartement de sa rivale, armée d’une cravache qui était, comme dit Wolff, le présent d’un illustre guerrier. ». Elle brise tout sur son passage. Il y a manifestement violation de domicile. A-t-on poursuivi ?