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CHAPITRE DEUXIÈME


La constitution physique. — Le Juif portugais et le Juif allemand. — Solidarité des Juifs. — Le petit Mortara. — La duchesse de Berry et Deutz. — L’espionnage juif. — Un passage de Maxime du Camp. — Les célébrités du vol. — Les associations de voleurs juifs. — Impunité accordée aux Juifs aujourd’hui.


I


Maintenant que nous avons indiqué les traits principaux qui sont communs à peu près à tous les Sémites, examinons de plus près la race et l’espèce.

Les principaux signes auxquels on peut reconnaître le Juif restent donc : ce fameux nez recourbé, les yeux clignotants, les dents serrées, les oreilles saillantes, les ongles carrés au lieu d’être arrondis en amande, le torse trop long, le pied plat, les genoux ronds, la cheville extraordinairement en dehors, la main moelleuse et fondante de l’hypocrite et du traître. Ils ont assez souvent un bras plus court que l’autre[1].

  1. Lavater observe que les Juifs, en général, ont le visage blafard, le nez crochu et proéminent, les yeux enfoncés, les muscles constricteurs de la bouche fortement prononcés ; les cheveux crépus, roux ou bruns ; la barbe rare, marque ordinaire des tempéraments efféminés. « La dégradation physique, ajoute-t-il, suit toujours la dégradation morale ; elle se fait remarquer plus fortement chez les Hébreux : c’est le résultat d’une complète dépravation. »
      Le portrait est un peu chargé. Les Juifs, entre eux, ne sont pas