Page:Drumont - La France Juive édition populaire, Palmé 1885.djvu/69

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

loi de la nature. Si on ne fait rien pour l’arrêter, dans l’espace de 50 ans, ou, tout au plus, d’un siècle, toute la société européenne sera livrée, pieds et poings liés, à quelques centaines de banquiers juifs. »

Toutes les fortunes juives se sont constituées de la même façon, par une prélévation sur le travail d’autrui.


Ce qu’un homme comme Erlanger a pu prélever sur l’Épargne, soit directement, soit par les Sociétés financières qu’il a fondées ou dont il a été l’instigateur, est inouï. J’ai eu l’idée de résumer cette vie financière en un tableau d’une rigoureuse exactitude, en réduisant les pertes pour le public aux proportions les plus modestes. Elles dépassent 200 millions.

Certaines de ces affaires, dont les actions valent aujourd’hui zéro, et qui n’ont pu être lancées que par des moyens frauduleux, sont évidemment de pures et simples escroqueries.

Ce détournement énorme de l’argent acquis par les travailleurs ne s’en est pas moins accompli avec une impunité absolue.

Sans doute, il est très explicable que des ministres de la justice, francs-maçons et inféodés aux Juifs, comme les Cazot, les Humbert, les Martin-Feuillée, les Brisson, les Goblet, les Fallières ; des magistrats comme Loew, Dauphin et Bouchez, ne trouvent point ces faits répréhensibles. Mais la magistrature a eu à sa tête, avant eux, des hommes d’une intégrité indiscutable, comme les Tailhand, les Ernoul, les Depeyre ; ils n’ont pas agi davantage que les ministres francs-maçons.

Regardez le duc de La Rochefoucauld-Bisaccia (auiourd’hui duc de La Rochefoucauld-Doudeauville), que