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contenta d’inventer quelques récits, plus ou moins scatologiques sur Mgr Gousset, de vénérable mémoire, et de raconter l’histoire d’une femme de Vannes nommée la Jarnotte, qui, paraît-il, s’oubliait légèrement sur ses andouilles, afin de les rendre plus savoureuses…

Ainsi que l’a dit Albert Rogat dans l’Autorité, « c’est excessivement malpropre ; mais, comme réfutation de la France juive, c’est cruellemment insuffisant. »

Avec leur ordinaire mauvaise foi, les Sémites, du reste, ont constamment transporté le débat en dehors de son véritable terrain. J’avais traité la question économique et sociale, et parlé des effroyables exactions exercées par une race parasite sur le peuple qui lui avait donné l’hospitalité ; j’avais montré par quels moyens odieux et vils, par quels coups de Bourse cyniques, par quel agiotage scandaleux s’étaient constituées ces fortunes mondiales qui suffiraient à faire vivre cent mille familles : les Juifs m’ont répondu en m’accusant d’attaquer leur religion.

M. Lisbonne, président du Conseil général de l’Hérault et député aujourd’hui, ayant entonné cet air dans une lettre rendue publique, je lui ai mis sous le nez les passages de journaux juifs où des officiers français, coupables seulement d’aller à la Messe sont traités de « cléricaux », de « polichinelles de sacristie » et de « pierrots d’église », et je