À toutes ces machines de guerre, à tous ces moyens d’attaque contre Jésus-Christ et son Église, le Juif a joint la propagande antireligieuse par le journal à scandales, la publication obscène, la pornographie[1]. En tout ce qui touche à l’ordure, le Juif est passé maître, il a le génie porcin. Toussenel n’a pas été trop loin lorsqu’il a écrit : « Le porc est l’emblème du Juif, qui n’a pas honte de se vautrer dans la bassesse, dans l’ignominie, dans l’usure, pour augmenter son capital ; qui ne trouve pas de spéculation infâme, dès qu’il y a du profit à faire. »
Là encore l’hérédité apparaît avec un caractère en quelque sorte impérieux. Cette crasse du ghetto, cette saleté proverbiale, dans laquelle le Juif a vécu pendant des siècles, semblent l’avoir imprégné à tout jamais. L’horreur d’Isaïe Levaillant pour la propreté n’est pas une exception ; il y a évidemment une forme de la névrose, un commencement de pica et de malaxie, dans l’incroyable torrent d’immondices imprimées ou dessinées que les Juifs ont fait couler à travers la France depuis quelques années. Ils ont véritablement rétabli dans cette France qui fut chrétienne, le culte des Phallophories antiques, sans le côté artistique, qui se mêlait, à Rome et à Athènes, à ces exhibitions publiques d’images impudiques et d’attributs cyniquement promenés par la ville.
C’est une véritable sentine juive que cette rue du
- ↑ D’après le Talmud, c’est un heureux présage que de rêver d’excréments. Presque toutes les publications sadiques sont éditées par les Juifs. Un libraire juif, millionnaire aujourd’hui, a commencé en vendant Justine »
jugement rendu, le 13 août 1847, dans une affaire de soustraction frauduleuse au détriment d’une faillite, affaire à laquelle était mêlé Gomot (Martin-Gilbert).