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chefs-d’œuvre que la France a produits quand les Juifs, grâce à Dieu, n’avaient pas accès chez nous.

Parmi les meneurs de l’œuvre de destruction entreprise contre tout ce qui rappelle la Patrie d’autrefois, une place à part doit être réservée au Juif allemand Michel Bréal. Celui-ci se chargea de poursuivre la vieille France dans ces belles-lettres, ces humanités, humaniores litteræ, qui rendent l’homme plus humain, plus civilisé. Il fut l’instrument de ce besoin qu’a le Juif de tout abaisser, de tout niveler, dont nous avons parlé si souvent dans ce livre.

Grâce aux méthodes pédagogiques allemandes, que Michel Bréal fît adopter en France, les pauvres cervelles de nos enfants, brouillées par mille notions confuses, devinrent incapables d’aucun effort sérieux. Le niveau des études classiques baissa rapidement ; et les candidats au baccalauréat en arrivèrent à ne plus savoir l’orthographe.

Les Facultés sont unanimes dans leurs rapports à se plaindre de cette lamentable décadence.

Partout vous retrouvez le Juif essayant de détruire directement ou indirectement notre religion. Le divorce est d’institution juive : le Juif Naquet fait passer le divorce dans nos lois.

C’est un Juif, Camille Sée, qui organise les lycées de jeunes filles, de façon à en exclure tout enseignement religieux.

Des Français, même peu zélés dans leur foi, disent à cet homme : « Voyons, vous allez donner à ces jeunes filles une culture raffinée, une éducation bien supérieure à leur position dans le monde, leur apprendre la musique, les arts d’agrément. Vous savez combien l’on a de la peine à vivre en courant le cachet. Placées entre le déshonneur et la pauvreté, qui leur semblera plus