Page:Drumont - La France Juive édition populaire, Palmé 1885.djvu/100

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

commis par les Juifs sur le dos de ceux qui sont signalés comme catholiques. Si vous alliez demander quelques documents sur Israël, le Fr.*. Caubet, qui est à la solde de l’Alliance, aposterait immédiatement des agents juifs qui attesteraient, sous la foi du serment, qu’ils vous ont vu assassiner votre père.

Il est aisé de comprendre que les innombrables Lévy. Salomon, Mayer, qui peuplent la Préfecture, depuis les commissariats jusqu’au dernier emploi d’inspecteur de la sûreté, n’arrêteront un de leurs coreligionnaires qu’à la dernière extrémité[1].

Voici ce qu’écrivait Maxime Du Camp à une époque déjà bien éloignée de nous, moins par les années écoulées que par les changements accomplis, à propos d’une certaine famille Nathan, une tribu de quatorze personnes : père, mère, frères et gendres, dont les condamnations représentaient un total de deux cents ans de prison :

« Les voleurs juifs se mettent rarement en lutte ouverte contre la société, mais ils sont toujours à l’état de lutte sourde et astucieuse.

« Parfois ils se réunissent par bandes et font le vol en grand comme on fait le négoce. Ils ont leurs correspondants, leurs entrepôts, leurs acheteurs. C’est ainsi que procédaient les Nathan, les Klein, les Blum, les Cerf, les Lévy. Tout leur est bon, les plombs détachés des gouttières aussi bien que les mouchoirs enlevés d’une poche. Le chef prend généralement le titre de commissionnaire en marchandises, et fait des expé-

  1. Dans son livre le Service de la sûreté par son ancien chef, M. Macé nous a montré « les agents signant leurs rapports avec les.*. maçonniques, et faisant partout, même en service, les signaux de cette société. »