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Le nouveau venu n’était autre que Paul Cousturier.
voir prolonger ainsi ton séjour aux colonies. Il n’y a pas un marsouin qui n’ait le droit de venir respirer l’air de France au moins une fois tous les trois ans : toi, tu t’en passes. De plus, tout marsouin qui change de colonie en profite pour faire un petit tour à Paris ; toi, tu files d’Afrique en Asie, et tu brûles l’Europe absolument comme si cette partie du monde ne t’intéressait plus du tout. Et pourtant il y a là-bas quelque part,  d’abord ton excellente mère, que j’ai été saluer à Versailles avant mon départ, et qui se disposait à partir pour Nice, ensuite…

— Pour Nice ! interrompit Georges.

— Oui, pour Nice, où je suis allé moi-même revoir nos bons amis les Ramblot. Ceux-là, tu ne les a pas oubliés, j’espère bien ?

Georges eut un « Oh ! non ! » si spontané que Paul sourit.

— Il y a aussi, poursuivit le peintre,