Page:Driant, Histoire d’une famille de soldats 3, 1904.djvu/382

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Je le fais commander exprès : tu verras pourquoi, et, en même temps, je te confie le soin de le surveiller. Aie l’œil sur lui, et s’il veut filer…

L’officier termina sa phrase par un geste énergique.

— J’ai compris, dit Mohiloff ; c’est un gaillard que j’étranglerais sans aucun scrupule, car i est capable de tout et tout le monde le déteste à la compagnie.


Alors, les tiges s’écartèrent et le déserteur parut.