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épilogue
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f8/Jean_Tapin_p441.png/400px-Jean_Tapin_p441.png)
Une fois de plus, la mort n’avait pas voulu de Jean Cardignac. Quatre jours après la sanglante hécatombe qui semblait l’avoir enseveli à jamais, il se réveillait dans un lit bien blanc, et le premier visage qu’il apercevait à son chevet était celui d’une religieuse à grande coiffe, qui lui souriait doucement.
— Enfin ! dit-elle, en se penchant vers lui, vous voilà sauvé, Monsieur le colonel.
— Où suis-je, ma sœur ?
— Oh ! ne parlez pas trop !