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nouveaux mystères et aventures

n’avez rien à voir dans cette affaire. Dites donc, les amis, est-ce que de libres Américains vont se laisser assassiner par un maudit Anglais ?

Ce fut la chose la plus prompte que j’aie jamais vu.

Il y eut une mêlée et un coup de feu.

Zebb était par terre, avec une balle de Scott dans la cuisse, et Scott lui aussi était par terre, maintenu par une douzaine d’hommes.

Ça ne lui aurait servi à rien de se débattre. Aussi ne bougeait-il pas.

Ils parurent ne pas savoir ce qu’ils feraient de lui, puis un des amis intimes d’Alabama les décida.

— Joe a disparu, qu’il dit. C’est tout ce qu’il y a de plus certain, et voici l’homme qui l’a tué. Quelqu’un de vous sait qu’il est allé au ravin cette nuit pour affaire ; il n’est pas revenu. Cet Anglais que voilà y est allé de son côté après lui. Ils se sont battus. On a entendu des cris du côté des grands Pièges à mouche. Il aura joué au pauvre Joe un de ses tours de sournois et l’aura jeté dans le marais. Ça n’est pas étonnant que le corps ait disparu. Est-ce que nous allons rester comme ça et laisser tuer nos camarades par les Anglais ? Non, n’est-ce-pas. Qu’il comparaisse devant le Juge Lynch, voilà mon avis.

— Lynchons-le, crièrent cent voix furieuses, car