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— La vallée de Sasassa ? dis-je.

— Oui, répondit Tom.

Je le regardai.

En ce moment, il était calme.

L’ardeur fébrile avait disparu.

Il agissait avec réflexion, avec lenteur.

Cependant, il avait dans les traits une certaine raideur, dans l’œil une lueur qui annonçaient que l’instant grave était venu.