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chez lui la présence de livres non religieux.

Dès lors, je ne pouvais m'approvisionner qu'auprès d'un ou deux de mes amis du village, qui me prêtaient un volume après l'autre de leurs petites bibliothèques.

Je les emportais sous ma chemise et ne les en tirais que quand j'avais réussi à m'esquiver dans la campagne, pour m'y cacher dans les hautes