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Je restai éveillé jusqu'au moment où la douce lumière du matin se montra à travers les fentes des solives mal couvertes du toit.

À vrai dire, je n'osais m'endormir, de peur que les habitudes pillardes du soldat de fortune ne prissent le dessus et qu'il ne nous déshonorât aux yeux de notre hôte si prévenant.

À la fin, cependant, sa respiration à temps prolongés me prouva qu'il s'était endormi et je pus goûter quelques heures d'un repos bien gagné.