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ment absorbé par ses études et ses recherches, qu’il vivait comme isolé du monde, et n’avait certainement donné à personne aucun sujet d’animosité. Il fallait donc admettre que ce coup avait été porté par quelque démon, quelque sauvage, qui aimait à verser le sang par goût du sang.
Bien que les autorités publiques fussent hors d’état d’arriver à des résultats satisfaisants, les soupçons populaires ne furent pas longtemps sans se fixer sur un bouc émissaire.
Dans les premiers récits publiés sur l’assassinat, figurait le nom d’un certain Schiffer